Le jour où Jésus m'a dit : je t'aime
Élevé au milieu d'un foyer brisé par l'alcoolisme de son père et l'amertume de sa mère, Guy Bergamini raconte ses années d'errance à la recherche de la paix intérieure et de l'amour véritable. Il passe du monde de la violence et de la haine au mouvement hippie, soi-disant annonciateur d'un monde meilleur au slogan prometteur "Peace and Love", "Faites l'amour et non la guerre". L'illusion complète sera au rendez-vous. Les multiples voyages des drogues hallucinogènes et la pop musique ne combleront pas le vide de son cœur tourmenté. Jusqu'au jour où grâce à un rendez-vous manqué avec un dealer, une rencontre allait bouleverser sa vie. Ce témoignage est un puissant message d'espoir pour tous. "Si quelqu'un entre en communion avec le Christ, il est une nouvelle créature. ...
Elevé au milieu d'un foyer brisé par l'alcoolisme de son père et l'amertume de sa mère, Guy Bergamini raconte ses années d'errance à la recherche de la paix intérieure et de l'amour véritable.
Il passe du monde de la violence et de la haine au mouvement hippie, soi-disant annonciateur d'un monde meilleur au slogan prometteur "Peace and Love", "Faites l'amour et non la guerre". L'illusion complète sera au rendez-vous. Les multiples voyages des drogues hallucinogènes et la pop musique ne combleront pas le vide de son coeur tourmenté.
Jusqu'au jour où grâce à un rendez-vous manqué avec un dealer, une rencontre allait bouleverser sa vie.
Ce témoignage est un puissant message d'espoir pour tous.
"Si quelqu'un entre en communion avec le Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées et voici toutes choses sont devenues nouvelles.
L'auteur l'a expérimenté.
Le miracle d'une nouvelle naissance est aussi pour vous.
"Il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de Dieu", criait ma mère, folle de chagrin lorsque mon beau-frère est revenu de l’hôpital, annonçant la mort de ma soeur aînée Liliane, alors âgée de onze ans. Un dimanche soir, une embolie l’emporta. Elle était atteinte de leucémie depuis plusieurs mois, et la maladie a eu raison de sa jeunesse. Je la vois encore, assise sur son fauteuil roulant, les yeux révulsés, bégayant ses dernières paroles : « Je m’en vais ; je meurs, je meurs, je vois Jésus… » Ce soir-là, ma grande soeur et son mari étaient à la maison. Mon beau-frère prit Liliane dans ses bras, la déposa dans sa petite voiture et l’emmena à l’hôpital, mais c’était déjà trop tard. D’une certaine manière, j’étais content. Elle n’aurait plus à souffrir ; pas seulement de la maladie qui la rongeait mais aussi de toutes les souffrances morales et psychologiques que notre père, alcoolique et violent, nous faisait endurer à tous. Ma mère aurait préféré que le contraire se produise. Combien de fois ne l’avais-je pas entendue souhaiter de vive voix la mort de mon père. Je n’ai aucun souvenir d’un moment de tendresse avec lui...
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